Agir pour la paix, la vie et la planète :

Relier l'humanisme à l'humanitaire

Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve - A. de Saint Exupéry

Agir enfin sur les causes avant d'agir sur les effets !

• Instiller une culture de la paix, du « VIVRE ENSEMBLE » et de la vie auprès du grand-public, avec des signes de reconnaissance forts.
• Promouvoir des actions au cœur de la cité (free hugs par exemple).
• Proposer des Cercles de Paix : sortes de « soins quantiques » qui utilisent la conscience non-locale reliée aux intentions pacifiques de tout un groupe de personnes réunies ; ces cercles pourront par exemple clôturer les Concerts de silence (voir page des actions culturelles et artistiques).

Au cœur de la philanthropie (avec ou sans partenariats) :

Réduire le stress dans les zones de souffrances est une nécessité. Comme déjà indiqué sur ce site, les violences, les conflits ou les catastrophes dites naturelles, ne sont que les manifestations des peurs collectives amalgamées. Nos pensées communes deviennent donc notre destin commun. Aussi il est primordial de réduire le stress à l’échelle mondiale. Le PQPAPM gère cet aspect important pour ceux qui suivent cette formation, mais il est indispensable de faire davantage dans des lieux où le stress est présent. En effet, notre ADN est relié à la trame quantique universelle. Il nous sert à entrer en connexion avec celle-ci dans le but d’informer mais aussi d’être informé par cette matrice quantique (c’est un aller-retour, un donner-recevoir). Or le stress contracte l’ADN et cette contraction empêche l’information de bien circuler. Ainsi dans cette situation de stress, nous sommes coupés de cette source quantique universelle et avec ces disfonctionnements psycho-énergétiques, le corps isolé développe des maladies. De plus, nos comportements sont profondément altérés par ces perceptions stressantes qui brouillent nos pensées, nos émotions et in fine notre ressenti qui est lui-même « l’agent co-créateur » de notre être et de ce fait attire ce qu’il ressent pour lui et son environnement. C’est pourquoi différents projets seront mis en place au fur et à mesure du développement et des moyens de Désir d’Humanité :

• En partenariat : aller au contact des populations concernées pour partager et soulager les souffrances. Relier la solidarité, les aides caritatives, avec la compassion en transmettant l’empreinte de reconnaissance (la paix du cœur). Ainsi ceux qui se « seront goutés » et reconnus comme « conscience non-locale » seront moins concernés par le stress, car moins identifiés à un mode de fonctionnement réactif.
• Déployer la paix et l’amour en missionnant sur place des Activistes de la Paix :
  • Dans des lieux ou des pays où règnent les tensions mondiales (conflits, catastrophes). Pour des raisons évidentes de sécurité, dans certains cas, l’action menée consistera à regrouper un grand nombre d’Activistes de la Paix qui pratiqueront ensemble sur de longues périodes, des pratiques issues du PQPAPM afin de faire baisser les tensions.
  • Dans des lieux d’exclusion, de solitude ou de souffrances (cités, prisons, hôpitaux).

Notre action c’est d’abord de « sécher les larmes du monde », mais ensuite d’apprendre à chacun à se libérer de la souffrance, pour enfin enseigner au plus grand nombre comment ne plus générer de souffrances. C’est pourquoi, nos Activistes de la Paix, seront comme des ambassadeurs de la paix.

Ils seront au service de l’humain et de la planète, et mettrons l’amour en action. Mettre l’amour en action, c’est avant tout un profond respect du vivant et cela implique naturellement une transparence intégrale sur le fonctionnement du mouvement Désir d’Humanité ; c’est pourquoi, je vous invite à consulter les statuts de l’association où cette transparence est largement détaillée.

Aucune paix dans le monde n’est possible tant que chacun ne mettra pas en priorité absolue sa pacification personnelle. C’est pourquoi l’avenir de l’humanité passe par le développement de la capacité de chacun à ressentir, et donc à vivre en conscience ce qui nous unit : la Vie. Savoir être, c'est l'art du vivre ensemble, c’est libérer son pouvoir créateur de la « cuirasse émotionnelle limitante ». Chacun de nous est la Pleine Conscience que nous pouvons expérimenter quand nous sommes au-delà de la pensée, dans une dimension plus vaste et plus profonde que la conscience ordinaire issue de la personnalité « dite de survie ». Cette pleine Conscience est l’expression d'une quiétude, d'une paix vivante, comme un arrière-plan naturel et silencieux à l'intérieur de nous qui est notre Essence : l’amour sans condition. Et comme la physique quantique nous indique que l’état du monde est le reflet de la conscience collective, la transformation de la conscience est une nécessité pour l'avenir de l'humanité. C'est donc l'état d'être de chacun des membres de la famille humaine qui fera émerger un monde en paix, naturellement plus harmonieux, en relation intime avec l’énergie de Vie.

Comme je l’ai déjà exprimé sur ce site, la véritable écologie c’est de « dépolluer » la conscience collective de l’humanité de toute trace de négativité. Pour se faire, la connaissance de soi est un préalable incontournable.
Dans la société, tout ce qui est fait jusqu’à maintenant pour améliorer les choses, est fait à l’envers. On agit sur les effets et non sur les causes ! Il est temps aujourd’hui de changer de paradigme, et enfin d’agir sur les causes plutôt que sur les effets. Il est légitime de faire de la prévention avant de faire du curatif. Mais comme le « savoir-être » n’est pas enseigné, c’est l’inverse que nous constatons le plus souvent. On réagit plutôt que d’apprendre à être ce que nous sommes déjà : des « co-créateurs ». Désormais transformons les « ré-acteurs » en « cré-acteurs ».

Si dans le monde le besoin en actions humanitaires est si criant, c’est qu’il y a en amont un fort déficit d’humanisme. C’est en grande partie la raison de la création de Désir d’humanité. En se dissociant de la nature, à partir d’une contagion de conditionnements, l’homme se suicide et engendre la démesure et le mal-être. C’est un acte contre nature, contre lui-même car la nature c’est l’homme. L’Amour est la dynamique de l’Unité. Alors je lance l’alerte à l’amour. Alors je suis un lanceur d’alertes et je dis : « L’URGENCE D’AIMER EST L’ETAT D’URGENCE DE L’HUMANITE ». Un jour, j’ai relevé un titre d’article dans la presse : « Quel monde pour demain ? ». Je me suis étonné que l’on s’en étonne… La vraie réponse à cette interrogation sur la société d’aujourd’hui serait : « celui que nous voulons ! ». Et c’est bien le but de Désir d’Humanité que de faire un monde plus humain.

Il est vrai cependant, que la sensation de manque est perçue de façon quasiment permanente et tous les mouvements intérieurs de notre être sont tournés vers l’intention de se combler. Parfois, pour un petit moment, nous pensons avoir assouvi ce manque, notamment lorsque nous obtenons quelque chose. Alors comme une partie de nous s’apaise, nous croyons que cet apaisement est engendré par la chose possédée et nous réitérons cette demande, cette attente. Ainsi, sur un plan collectif, notre civilisation, loin d’être civilisée, est tissée par l’énergie de la possession et donc de la peur de perdre. Elle conduit à formater les individus à travers la notion de performance et en fait des prédateurs propulsés par le désir de possession. Sur un plan individuel, l’apaisement est donc constaté au moment fugace où nous nous croyons comblés par l’objet possédé. Nous ressentons alors un état intérieur paisible et détendu qui nous rend plus vaste et plus relié. Mais cet état n’est pas suscité par l’objet possédé, il est simplement dévoilé (et donc toujours là derrière nos remparts) quand cessent les tensions qui nous poussent à chercher, quand cesse l’excitation qui nous pousse à vouloir posséder.

Je ne peux que vous inciter à suivre le PQPAPM, mais sans faire de prosélytisme, car tout est pourtant parfait dans la création, puisqu’à chaque instant présent c’est la suite du big-bang qui se déploie avec vous et que vous expérimentez vos créations mentales pour mieux vous reconnaitre en tant qu’Être à travers le reflet de votre vie que vous générez vous-même. Je pourrai aussi vous dire qu’il n’y a rien à faire pour exister parce que vous existez déjà. Et que pour vous laissez-être, il convient de faire un effort de non-effort. Il est vrai que la conscience non-duelle est un lieu de paradoxes. Je pourrai vous dire devenez des « astronautes de la paix », car les apprentis astronautes sont recrutés sur leur facultés d’être en mesure non seulement d’être conscients de leur ressenti, mais aussi de constater quelles stratégies de comportement ce ressenti implique chez eux ! C’est précisément l’une des bases de travail sur soi qu’enseigne le PQPAPM. Mais je ne vous dirai rien, car c’est à chacun de trouver sa vérité intérieure (mais qui peut être en résonnance avec d’autres vérités). Et c’est à chacun de s’autoriser à se donner sa « propre reconnaissance » pour enfin ne plus aller la quémander ailleurs. Ne soyez jamais plus des « mendiants d’amour » puisque vous êtes la vie, puisque vous êtes l’amour…